Quand j’étais jeune…

Si vous avez commencé à jouer aux jeux-vidéo étant jeune, il est probable que votre perception de certains jeux et votre façon de jouer de l’époque doit vous amuser avec le recul. Personnellement, j’ai une tonne de souvenirs de mes années en tant que joueur novice. C’est pourquoi j’ai décidé de vous en partager quelques uns avec l’espoir de vous amuser et peut-être que vous vous retrouverez à travers ces anecdotes. Je précise tout de même que faire appel à ma mémoire peut me jouer des tours et que certains détails et/ou dates sont potentiellement erronés. Sur ce, il est temps de vous plonger dans mes souvenirs d’enfances !


  • J’ai déjà joué au Philips CD-i ! Elle fait partie des consoles que ma mère avait emprunté à la FNAC pour une semaine; cette dernière travaillant au rayon jeux-vidéo. Par contre, je n’avais jamais entendu parler de la trilogie Zelda et de Hôtel Mario. De mémoire, j’avais joué à un jeu de casse-brique, des jeux éducatifs et nous en avions profité pour découvrir quelques films disponibles au format propriétaire de la console.
  • Avant d’avoir ma GameBoy Color, je jouais sur ordinateur avec ma soeur, notamment à Tomb Raider II. Je crois bien qu’aucun de nous deux n’a fini le jeu à l’époque mais les premiers niveaux étaient cultes pour nous. Je me souviens particulièrement d’un passage vers la fin du premier niveau où la caméra passait devant Laura pour indiquer au joueur qu’un rocher lui fonçait dessus. Ce passage nous faisait stresser et pour se soutenir mutuellement, nous chantions en coeur « Santiano » de Hugues Aufray.
  • Traditionnellement, ma famille avait pris l’habitude de filmer nos anniversaires et nos Noël, histoire de garder quelques souvenirs. Je peux donc re-découvrir ma première journée en compagnie de ma GameBoy Color et de Pokémon Rouge en ce Noël 1999. Au cours du film (filmé à divers moments les 25 et 26 décembre), il est possible de m’entendre dire : « Je suis Carabaffe ! » et « Il devient plus grand ! Il s’appelle Reptincel ! ». Ce qui veut dire que j’ai recommencé ma partie alors que je venais tout juste de commencer à jouer. Pour l’anecdote, je me souviens avoir fini le jeu avec Florizarre.
  • Dans Pokémon Rouge, je n’ai jamais compris ce sprite de PNJ. Pour moi, c’était un insecte qui me parlait. Même aujourd’hui, je ne comprends pas ce qu’il représente.
  • Je trouvais le sprite de dos de Rattatac tellement moche que je me demandais si ce n’était pas une évolution intermédiaire entre ce dernier et Rattata.
  • J’ai souvent bloqué au niveau d’Azuria, ne comprenant pas ce qu’il fallait faire. Et le chemin à suivre le plus logique me semblait être la Route 22, soit la Ligue Pokémon. Comme je ne pouvais pas revenir en arrière et que, dans mes souvenirs, il fallait juste le badge Roche pour pouvoir avancer, j’avais recommencé une partie. Puis j’étais retourné Route 22 après avoir affronter Pierre, pour me rendre compte qu’il fallait le badge Cascade. Je ne saurais vous dire si j’avais sauvegardé à ce moment.
  • A l’époque, je pensais qu’en général, les attaques de statut ne servaient à rien. Sans compter le fait que le concept d’attaque physique et spéciale me passait au dessus (je vous laisse imaginer les attaques que pouvaient connaître mes Pokémon). D’ailleurs, je m’étais créé un guide du jeu qui répertoriait les 150 Pokémon du jeu avec leurs « meilleures » attaques selon moi à l’aide de quelques feuilles blanches et d’une agrafeuse, histoire d’avoir un guide personnalisé.
  • Dans Link’s Awakening, on rencontre régulièrement des Stalfos, notamment dans le premier donjon. Mais pour moi, c’était des vieillards qui voulaient me sauter dessus. Ce n’est qu’en jouant au remake sur Switch que j’ai enfin compris la véritable nature de cet ennemi.
  • Grâce aux emprunts de ma mère à la FNAC, j’ai pu jouer, entre autre, à la Nintendo 64 et à Pokémon Stadium, Snap, Zelda Ocarina of Time et Majora’s Mask. Entre le fait que je ne pouvais pas jouer autant que je le voulais, les devoirs et que j’étais accessoirement mauvais, je ne finissais jamais un jeu emprunté (exception faite de Pokémon Snap). Alors que je jouais à Majora’s Mask, je suis resté bloqué dans la Tour de l’horloge, juste après ma rencontre avec le vendeur de masque, ne sachant pas où aller. Ce n’est que la veille du jour où ma mère devait rendre la console et le jeu que je découvris par hasard qu’en poussant la porte, nous atteignions Bourg-Clocher.
  • Parmi les jeux auxquels j’ai pu joué sur Nintendo 64, il y avait bien entendu Super Smash Bros.. Ca doit être le premier jeu sur lequel je rageais quasi-systématiquement. Pour moi, Kirby était le meilleur combattant du jeu grâce à ses cinq sauts. C’est dire à quel point revenir sur le terrain était une épreuve pour moi.
  • Avant de rédiger cette anecdote, j’ai effectué quelques recherches, mais impossible de trouver le nom du jeu concerné. Toujours est-il que je jouais à un jeu GameBoy/GameBoy Advance « Le Roi Lion » où la fin correspondait à celle du « Roi Lion 2 ». Comme je ne comprenais pas ce qu’il fallait faire et que je n’avais pas accès à Internet à l’époque, j’avais regardé à nouveau la fin du film pour potentiellement trouver une solution. Evidemment, cela ne m’a pas aidé.
  • A l’époque de Or et Argent, n’ayant pas accès au web, ma mère avait imprimé de son travail une soluce trouvée sur Internet mais réalisée à partir d’une version japonaise. Outre la galère pour comprendre à quel Pokémon correspondait tel nom, la soluce mentionnait qu’Erika possédait un Pokémon niveau 100.
  • Je n’ai jamais fini Pokémon Cristal. Je serais bien incapable d’expliquer pourquoi, sachant que j’ai fini Or et Argent qui sont des jeux que j’ai toujours beaucoup aimé. Malgré mes multiples tentatives, je n’ai jamais atteint la fin du jeu.
  • Un client fidèle du magasin où travaillait mon père lui avait donné un CD qui contenait un émulateur GameBoy et une tonne de jeux de la console. J’y est également laissé quelques heures derrière moi, sans même comprendre ce qu’était l’émulation à l’époque.
  • Outre Pokémon et Link’s Awakening, les jeux Harry Potter font partie de ceux m’ayant le plus marqué sur GameBoy. Seulement, quand je décidai de me l’acheter avec mes économies, ce dernier n’était presque plus disponible nulle part. J’étais tellement déterminé à mettre la main dessus que j’appelais une, voire plusieurs fois par semaine le Joué Club proche de chez moi pour savoir si ils avaient reçu le jeu.

  • À la sortie de Pokémon Rubis et Saphir, en juillet 2003, j’étais vert d’être en vacances à la montagne. Et pour cause, ces jeux devaient être les premiers que j’allais me payer moi-même, et donc obtenir dès leur sortie. Pour compenser cette « offense », j’avais mis la pression à mes parents pour acheter une soluce papier des jeux. Soluce qui, évidemment, avait été rédigée avec les versions américaines. Je pouvais donc « découvrir » Hoenn et ses Pokémon avec des noms qui ne m’auront pas marqué. Par contre, c’est en lisant le passage sur le Conseil 4 que j’appris que les attaques de type Combat étaient très efficaces contre le type Ténèbres.
Ma fidèle équipe de 2003, ici dans Rubis Oméga.
  • Dans Pokémon Rubis, je m’étais créé une équipe assez improbable : Laggron, Grolem, Tenefix (obtenu grâce à la version Saphir de ma soeur), Mackogneur, Magnéton et Kaimorse. Après des heures de jeux (et de rage à cause de la batterie qui m’avait lâché, faute d’avoir un chargeur à portée de main) à entrainer mon équipe à travers tout Hoenn, je devenais enfin Maître de la Ligue. Quelques temps plus tard, je me souviens avoir changé Grolem contre Braségali (obtenu via un oeuf d’un ami). J’étais tellement fier de moi que j’avais soumis mon équipe à la section TopTeams de Pokémon France (anciennement Pokélord). Pour la petite histoire, cette équipe me suivit pendant des années et me permis de remporter le défi du Mont Bataille sur Colosseum et XD.
  • Il semble que mon entrainement sur Rubis m’a traumatisé car j’ai utilisé la même équipe pour affronter la ligue sur Pokémon Diamant, Perle et Platine. Vous vous dites sûrement que j’ai juste ré-entrainé la même équipe sur mes différents jeux. Au lieu de ça, par pure flemme, j’ai transféré toute mon équipe de jeu en jeu.
  • Bien avant de me lancer dans le shinyhunting, j’étais tout de même fasciné par les shiny. Mais, par flemme d’en chercher, je m’étais créé une équipe de shiny que je trouvais classe via un site qui proposait de générer des Pokémon sur-mesure grâce à des codes Action Replay. Bien évidemment, je ne les comptabilise pas dans ma collection actuelle. Pour aller encore plus loin : ces shiny sont toujours dans ma cartouche et possèdent des attaques pas très legit !
Je n’ai (pas) le plaisir de vous montrer mes shiny hack !
  • Les débuts d’Internet, c’est toujours marquant. Pour ma part, j’avais découvert que les musiques de Pokémon Rubis, Saphir et Rouge Feu et Vert Feuille étaient sortis en CD au Japon ! Je ne sais plus comment ça s’était passé mais en 2004, j’étais rentré en contact avec quelqu’un via MSN qui faisait des études sur Paris et qui m’avait fait découvrir CD Japan ! Je vous laisse imaginer ma joie, à 12 ans, lorsque j’ai pu écouter pour la première fois ces musiques jusque là entendues uniquement via ma GameBoy Advance.
  • Toujours en 2004, j’ai découvert par pur hasard (impossible de me souvenir des détails) un magasin de jeux vidéo import. Encore une fois, je pense qu’il n’est pas difficile d’imaginer mon engouement pour ce genre de boutique, des années avant que je mette les pieds dans mes premières conventions du style. C’est donc avec des étoiles dans les yeux que je suis sorti du magasin, après avoir longuement lorgné les rayons de jeux rétro japonais et celui des OST. Quelques temps plus tard, à mon anniversaire, je recevais l’e-reader, cet accessoire débloquant des bonus, notamment dans les jeux Pokémon 3G, ainsi que les OST d’Ocarina of Time et Majora’s Mask. Très vite, je m’aperçois qu’il est impossible de débloquer le moindre contenu dans mes jeux Pokémon. En faisant une nouvelle escale au magasin, j’apprends que l’e-reader est zoné et est donc inutilisable avec mes jeux. J’ai essayé un temps de m’en débarrasser avant de jeter l’éponge. Finalement, il représente l’une des pièces de ma collection étant la plus chargée d’histoire. Pour conclure cette anecdote, j’ai appris quelques années plus tard que le magasin avait fait faillite et que mes OST de Zelda étaient en réalité des contre-façons.
  • Je ne sais plus pourquoi, mais j’avais reçu à Noël 2004 le DVD allemand de Pokémon 5 car il me semble que c’était la seule édition qui proposait des sous-titres français et la bande-son en anglais. En regardant le film, je découvre que cette super chanson Pokémon que j’écoute régulièrement et découverte grâce à LimeWire (Master Quest) est utilisée comme opening pour le film. Pour ma défense, je ne regardais que très rarement l’animé à cette époque. Et les génériques étaient quasi-systématiquement coupés.
  • Dans ma famille, nous avons coutume de nous offrir un petit cadeau au réveillon du nouvel an. Il faut savoir qu’en terme de produit dérivé Pokémon, j’étais habitué au dessin animé et au TCG, mais absolument pas au manga. Pour remettre les choses dans leur contexte, je n’en avais jamais ouvert un de ma vie. C’est ainsi que le 31 décembre 2004, je découvris « Pokémon La Grande Aventure » avec les tomes 5 et 6 ! Malgré le fait que je n’ai dû rien comprendre à l’histoire et que ce média ne m’attirait pas, j’ai totalement accroché !
  • Pour pouvoir jouer avec des amis, j’apportais régulièrement ma GBA SP et Pokémon Rubis au collège. Je ne me les suis jamais fait voler mais, sans que je comprenne pourquoi, j’ai retrouvé ma cartouche partiellement fêlée. Heureusement, elle n’a jamais cessé de fonctionner.
  • Etant donné qu’avoir pu obtenir ma GameBoy Color à Noël était un miracle et qu’il était hors de question que je possède une console de salon, j’ai participé pendant des années à un maximum de concours et économisé le plus d’étoiles possible sur le Club Nintendo pour espérer remporter une GameCube. Je n’ai jamais gagné de console, mais j’ai reçu une GameCube pour Noël en 2005.
  • Comme je n’ai pas eu la Nintendo 64 et que très tardivement la GameCube, mon expérience sur Super Smash Bros. fut relativement limitée pendant longtemps. Ce n’est qu’une fois que j’ai eu ma GameCube, Super Smash Bros. Melee et plusieurs heures de jeux à mon actif que je découvris par hasard qu’il était possible de faire des esquives pendant un combat contre Créa-Main.
  • Comme ma culture vidéoludique était pauvre, il m’arrivait de télécharger tout et n’importe quoi via LimeWire en terme de musiques Pokémon et Zelda. Pendant très longtemps j’ai adoré la musique de la Vallée Gerudo d’Ocarina Of Time (Gerudo Valley) et celle de l’île du Dragon de Wind Waker (Dragon Roost Island) sans avoir la moindre idée de ce à quoi elle correspondait. Pour information, je n’ai joué à OoT qu’en 2011 sur 3DS et à WW en 2013 sur GameCube, avant d’enchainer avec son remake en fin d’année.

  • Étant donné que cela faisait un petit moment que je pouvais m’acheter mes jeux tout seul, j’avais pu m’offrir la DS à sa sortie avec Pokémon Dash. En 2006, je possédais principalement Dash, Super Mario 64 DS et Mario Kart DS. Après ma GBA SP, j’avais pris l’habitude d’amener ma DS au collège, pour jouer aux récréations. Et fatalement, un lundi en rentrant des cours, au moment de faire mes devoirs, ma DS n’était pas dans mon sac. Sans surprise, je ne l’ai jamais retrouvée mais l’ayant encore à la récréation de l’après-midi, je pense que j’ai dû l’oublier sur un banc de la cour. Avec ma console, j’avais apporté Super Mario 64 DS et Mario Kart DS. J’avais fini le premier et j’ai reçu à nouveau le second pour mon anniversaire qui suivit.
  • En 2006, je ne regardais plus l’animé Pokémon, mais je m’intéressais toujours aux génériques français. C’est pendant mes vacances de Pâques que le premier épisode de la saison 8 passa à la télé. Très vite, j’arrive à mettre la main sur le nouvel opening sur Internet que j’écoute. Autant j’apprécie directement la chanson, autant je ne comprends pas pourquoi le refrain donne « Je suis invincible ! Pokémon ! PETIT CONNARD !!! ». Etant donné que ma mère entend la même chose, je me dis que je suis tombé sur une parodie et que je trouverais la vraie version plus tard. Dans le doute, je cherche les paroles et je découvre que le chanteur crie « Ultime Combat », ce qui me paraît plus logique.
  • J’ai toujours porté un certain intérêt pour les films Pokémon. Comme beaucoup, je n’ai pas apprécié le doublage français proposé pour les films 4, 6 et 7. Étant donné que France Télévisions avait repris les droits de distribution des prochains films, j’avais créé une pétition pour que les films soient re-doublés. Je ne sais plus combien j’avais obtenu de signatures, mais je me souviens avoir envoyé un mail à France Télévisions avec le lien vers cette dernière. J’ai réussi à obtenir une réponse comme quoi FT était « intéressé par votre projet de reportage ». Evidemment, cette initiative n’a jamais abouti.
  • Comme beaucoup d’enfants, j’ai découvert Pokémon 1 au cinéma, avant d’avoir la VHS, puis le DVD du film. Pourtant, pendant des années, je n’arrivais pas à comprendre les premiers mots du scientifique qui expliquait que la Team Rocket était à la recherche du fossile de Mew, soit le début du film. Ma soeur, ma mère et moi entendions quelque chose comme « la cézotte ». Ce n’est que des années plus tard (aux alentours de 2008-2009, soit presque 10 ans après avoir vu le film au cinéma) que je décidai de lancer le film en anglais pour éventuellement comprendre ces mots mystère. Bien entendu, dès que j’ai entendu « August 6 « , j’ai compris que le comédien de doublage marmonnait « le 6 août ». Avec le recul, je me sens toujours aussi bête de ne pas avoir compris plus tôt.
  • Avant les conventions et les tournois de Super Smash Bros. Brawl, il y a eu les Trophées FNAC ! Des tournois organisés par les magasins éponymes. En 2009, je décidai de m’inscrire au tournoi sur Guitar Hero : World Tour. Le but était simple : faire le meilleur score sur « Hotel California » des Eagles en difficulté normale. Après des heures d’entrainement jusqu’à jouer la chanson sans erreur, j’étais fin prêt ! Le jour-J, les deux animateurs m’accueillent et me demandent si il faut configurer quelque chose. Naïvement, je leur dis que non, pensant qu’ils savaient ce qu’ils faisaient. Grave erreur : « Hotel California » ne fait pas partie des chansons débloquées par défaut. Et le tournoi se fera sur « About a Girl » de Nirvana. Autre soucis : le jeu n’avait pas été calibré et présentait une latence forcément dérangeante. Mais étant timide, je n’ai pas osé m’imposer. Ce cuisant souvenir a fait partie de mes motivations pour être un organisateur de tournoi exemplaire lorsque j’eus, à mon tour cette opportunité.

J’espère que vous aurez pris autant de plaisir à lire cet article que moi à l’écrire. Encore une fois, peut-être que certaines anecdotes vous paraîtront familières en fonction de votre expérience vidéoludique et de votre âge. Quoiqu’il en soit, vous me connaissez désormais un peu petit mieux. Et vous, avez-vous des anecdotes de ce style dans votre passé de joueur à raconter ? 🙂

2 réflexions sur “Quand j’étais jeune…

  • 13 juin 2020 à 21 h 54 min
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    C’était bien amusant toutes ces anecdotes !

    Quand j’étais petit et que je ne savais pas encore lire, je jouais déjà à Pokémon. Pour parler des Pokémon que je rencontrais ou que je caputrais dans Rubis à mes amis, j’imitais leurs cris (issu du jeu évidemment, sinon ce n’est pas drôle). Je me souviens difficilement de comment j’appelais Arcko, Poussifeu ou Zigzaton mais j’ai un peu honte de m’imaginer imiter les cris de Pokémon du jeu.

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