C'était… Splatoon

On y est ! Ca devient une tradition pour moi, il est temps de faire le bilan d’un nouveau jeu. Splatoon 2 s’apprêtant à sortir, je reviens donc une dernière fois sur Splatoon premier du nom. J’aurais saoulé tout mon entourage avec ce jeu mais pour être franc, je n’ai que très rarement pris mon pied en 17 ans de pratique de jeux vidéo. Nouvelle licence pour Nintendo depuis un bon moment et surtout, premier jeu a être principalement centré sur le online. Le mode solo, bien que sympa, ne sera qu’un simple tutoriel de ce dernier.


OctaVallée
Le mode solo, bien que court, était super sympa !

Personnellement, j’ai eu un comportement assez haineux envers le jeu à son annonce suite au report de Super Smash Bros. for 3DS, à l’E3 2014. J’ai ensuite suivi de très loin son actualité jusqu’en juin 2015, un mois après sa sortie où je repris mon job d’Animateur Nintendo qui mettait en avant… Splatoon ! J’ai donc du découvrir le jeu malgré moi. Ce qui été parti pour être un simple job d’été se transforma en bénédiction : j’avais découvert un nouveau jeu pour qui j’ai eu un coup de foudre. Comme souvent, il faut passer outre la communication enfantine faite par Nintendo pour comprendre le potentiel énorme du jeu : un équilibrage régulier, des armes, des terrains et des modes supplémentaires ont permis à Splatoon de devenir un jeu offrant des possibilités quasi-illimités. Entre le choix des différents types d’armes (en prenant en compte leurs statistiques et leurs armes secondaires et spéciales ), des bonus proposés par les équipements, le tout en jonglant en fonction du terrain ou des modes, il y a de quoi faire.


Docks Haddock
Les Docks Haddock font parti de mes terrains préférés.

Je pense que c’est cette immense liberté qui m’a séduit. Le jeu s’adapte aux goûts de chacun. J’ai pris énormément de plaisir à changer d’armes, jusqu’à jongler avec 5-6 différentes (principalement le Rouleau Carbone, l’ Épinceau Brosse Nuancé, les Marqueur Léger et Lourd Néo, le Nettoyeur Duo et le Seauceur). J’ai passé beaucoup de temps à regarder des vidéos explicatives sur Internet, à discuter du jeu avec des amis et à peaufiner mes configurations. J’insiste mais rarement j’ai été motivé pour m’investir autant dans un jeu vidéo et surtout, en si peu de temps. J’ai eu l’impression d’avoir « compris » le jeu.

Chromapolis - Splatfest
Fun mais barbant, les Splatfest manquent depuis presque un an…

Au final, si la Wii U n’a pas aussi bien fonctionné qu’espérait Nintendo, elle a eu droit à ce chef d’oeuvre qu’est Splatoon. Mon seul regret est d’avoir trop longtemps dénigré le jeu et de ne pas avoir craqué dès sa sortie, ne serait-ce que pour pouvoir y jouer quelques semaines en plus. Et quitte à faire un reproche au jeu, ce serait la gestion des bonus secondaires qui est chaotique pour peu qu’on veuille s’investir un minimum. Heureusement que Splatoon 2 s’annonce plus juste et carré à ce niveau là.

Pour l’anecdote, mon tout premier article sur le blog fut mes impressions sur le jeu. Depuis, je vous aurais également proposé mon ressenti sur l’intérêt des niveaux et des rangs ainsi que sur l’aspect élitiste du jeu. Bref, Splatoon, c’est désormais terminé. J’espère que sa suite sera encore meilleure et qu’il y aura encore plus à dire à son sujet. Merci Nintendo pour cette superbe prise de risque, et comme dirait Ayo et Oli, « à plus tard calamars » !

Artwork Inkling calamar
La fin d’une époque, le début d’une autre.

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